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Mouloud...
DU RAB !!!

Soirée "couscous" du 7 février 2003
de notre correspondant permanent à Paris
Rappel : Ce site est optimisé pour être visualisé sur Internet Explorer 6.0 ou supérieur, en 1024x768, l'été, de préférence le 23 juillet des années bissextiles, au nord-ouest du Sri Lanka, entre 7h35 et 9h18 GMT, et par une température ne dépassant pas 21° centigrades.
Dire que les venues dans la capitale des anciens de Bouzaréah demeurant en province sont rarissimes est en dessous de la vérité.
En effet, si l'on excepte Alain Miguel qui vient de temps à autre me squatter un plumard entre deux trains histoire d'économiser l'hôtel (ce rat !), ou Doudou qui débarque dans le quartier quand sa fille l'embauche à durée déterminée pour rénover son appartement, les autres passages à Paris de copains de l'Ecole Normale tiennent de l'anecdotique.
Pour être juste, il faut quand même citer Richard Chéron et Roger Lévy qui nous ont fait par le passé la surprise de leur visite. Mais ça remonte déjà assez loin...
Henry-Robert et Nicole Durant
Aussi, jugez de la tempête qui bouleversa les agences de presse et ma belle-soeur, quand courant janvier tomba sur les téléscripteurs l'incroyable nouvelle :
Henry-Robert Durand et Nicole montaient quatre jours
à Paris, à l'occasion de l'exposition "Rétromobile" !
203 Peugeot
Henry-Robert et Nicole sont en effet non seulement accros de voitures anciennes, mais également les heureux propriétaires de cette superbe 203 Peugeot.
Notons au passage l'extrême indigence des salaires de l'instruction publique, qui n'ont pas permis à Henry-Robert de changer de bagnole depuis 1962 !

Si vous désirez l'aider, adressez-moi directement vos dons, de préférence en espèces. Je ferai suivre.
Inutile de dire que je me suis empressé de battre le rappel des anciens de l'EN demeurant dans la région parisienne, et que cette opération fut d'autant plus aisée que nous ne sommes plus que trois !... je parle de ceux qui sont répertoriés, bien entendu ; il doit y en avoir d'autres.

En effet, par un phénomène étrange, nos amis parisiens d'adoption s'empressent de quitter la capitale pour des cieux plus cléments aussitôt qu'ils atteignent l'âge de la retraîte. On se demande bien pourquoi.
C'est ainsi qu'en l'espace de deux où trois ans, nous avons vu fuir Sala pour je ne sais où, Jean Brincourt pour Tunis, Jean-Claude Golvin pour le Lubéron et Jean-Louis Sarthe pour Port-Vendres (je profite de l'occasion pour rappeler que c'est à Jean-Louis et à sa compagne que nous devons l'organisation de la 13e réunion annuelle en 2000, la dernière en date à ce jour, hélas !).

Makhlouf et Henry-Robert
Le précédent dîner d'anciens à Paris (21 novembre 2001) ayant eu pour cadre un restaurant chinois, c'est cette fois vers un couscous que se porta notre choix.
Je recommande chaudement ce sympathique établissement :
le "Régal Couscous", situé au 16 de l'avenue de Saint-Mandé, dans le 12e. Si le patron tombe par hasard sur cette pub désintéressée, je ne me vexerai pas s'il m'invite pour m'en remercier.
Mon téléphone est le 01 49 28 97 44.
Makhlouf, rayonnant de bonne humeur, et Henry-Robert.
Tout le monde ayant répondu présent, nous étions sept :
Nicole et Henry-Robert Durand, Sylvie et Makhlouf Derridj, Jacky Tiffou, Annie et moi.
Jacky Tiffou
Rémy Laven
Sylvie Derridj
Jacky, qui ne manque aucune
de ces petites réunions.
L'homme à la cravate d'enfer.
Henry-Robert Durant et Anne-Marie Laven
Sylvie
Enfin voilà... je ne vais pas raconter la soirée en détail.
Sachez seulement qu'elle fut trop courte puisque nous n'avons même pas eu le temps de dire du mal de tous les copains !
Annie et Henry-Robert,
toujours extrèmement chaleureux avec
les femmes des copains (le s...)
...ce sera pour une autre fois.
Messages personnels

Le carrelage en arabesques de fond de page n'a pas été piqué sur un autre site, mais je l'ai dessiné moi-même avec mes petites pattes de devant. Prière de ne pas l'utiliser sans mon autorisation expresse sous peine de duel au sabre d'abordage.

D'autre part, connaissant mes amis de Bouzaréah comme si je les avais faits, je déclare par avance que je traiterai par le plus profond mépris toute tentative de corriger mes fautes d'orthographe comme toute velléité de critiquer mon style ou de dénigrer ma technique de mise en page.
Je fais ce que je peux.

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